Bien que le score à la fin de la partie soit réalistement la donnée la plus importante, nous sommes tous très intéressés par le fait de produire une distance maximale au driver. Si Jason Day, Rory McIlroy ou Dustin Johnson frappent autour de 270 mètres de moyenne au drive, avec des pointes à 300 mètres selon les circonstances. Si ces distances poussent l’USGA à réfléchir à une limitation des performances de la balle de golf. Pour les golfeurs amateurs, selon l’âge et l’index, le niveau de distance varie. Comment vous situez-vous par rapport aux autres golfeurs amateurs en 2018 ? Une récente étude nous dresse le panorama des distances réelles sur le parcours.
Des outils de mesures des distances toujours plus précis
Game Golf, Arccos, ShotScope…tous ces nouveaux outils de mesures des performances sur le parcours compilent de plus en plus de données réelles, et utiles à votre jeu sur le parcours.
A mesure qu’elles se développent, ces applications construisent des bases de données gigantesques sur les véritables performances des golfeurs, et des golfeuses.
Jamais dans notre histoire, nous n’avions eu jusqu’à présent des mesures aussi élaborées sur les performances au drive ou le nombre de greens en régulations par index ou par classe d’âges.
Taper un drive à 300 mètres !
On pourrait faussement croire que c’est la nouvelle norme sur le PGA Tour.
Sur le circuit américain, en 2017, ils ne sont en réalité que 29 à atteindre ou dépasser la moyenne des 300 yards (274 mètres) de distance moyenne au carry.
Ils sont une centaine à jouer au-dessus de 290 yards (265 mètres).
Plusieurs éléments expliquent la distance au drive.
En premier lieu, la vitesse de swing produite par le golfeur.
En second, la vitesse de balle qui est en fait l’élément clé, et représentatif de la capacité du golfeur à centrer la balle dans la face, et donc maximiser la distance.