Dans la série d’articles Labo Golf, je pars du cas concret d’un golfeur amateur, et notamment d’une problématique qu’il rencontre, pour aller chercher des préceptes, des enseignements de moniteurs de golf reconnus, à appliquer pour dépasser un palier et progresser. En fin de compte, je les teste pour établir la probabilité d’un lien de cause à effet utile pour le plus grand nombre d’amateurs. Dans ce sujet, j’ai voulu m’intéresser à un serpent de mer de l’enseignement golfique : L’entraînement ou apprentissage en mode variabilité ou aléatoire, par rapport au mode répétition.
Préambule : Le débat sur le meilleur entraînement pour progresser au golf
Sans faire trop de suspense, bien entendu que l’entraînement en introduction de facteurs variables présente un plus grand intérêt que l’entraînement en répétition, deux des grandes familles d’apprentissages au golf.
Pourtant, beaucoup de golfeurs et golfeuses au niveau amateur, pour ne pas dire l’immense majorité, nous continuons à largement plébisciter l’entraînement en… répétition.
Ce n’est pas là que je vais vous apporter une révélation.
Avant de développer ce sujet qui me touche personnellement, et dont je me sens de plus en plus familier, j’ai voulu d’abord m’interroger sur le pourquoi d’une telle résistance au changement.
Pourquoi moi-même, golfeur depuis l’adolescence, je n’arrive toujours pas à changer de camp, et à basculer définitivement dans l’entraînement à facteurs variables ?