La compréhension de l’être humain va parfois à la réduction de pensée, et à la catégorisation exagérée. Même au golf “Je suis cérébral”. “Moi je ne suis que sensations”. La vérité est autre : Chacun est forcément, les deux. Avec une tendance plus affirmée certes, mais les deux quand même. Et nous avons besoin autant de réfléchir que de ressentir…Dans ce nouvel article, moi, Jérôme Marczak, je vais peut-être un peu vous surprendre par rapport à ce que vous pourriez imaginer d’un article traitant de golf, d’expérience, de jeu, de pensées positives ou négatives, mais très vite, vous allez comprendre où je veux en venir, et vers quoi je veux vous ouvrir les yeux… en toute modestie de ma part, golfeur amateur comme vous, mais aussi expert en développement personnel dans ma vie professionnelle. Je pense pouvoir vous amener des réflexes nouveaux sur votre façon de voir votre jeu de golf…
Juger est facile
C’est même indispensable pour comprendre le monde et s’y adapter.
Notre cerveau fonctionne ainsi. Il reçoit les informations perçues, les traite, les range, les rapproche ou les distingue.
Mal juger est aussi fréquent. Et c’est encore la faute de notre cerveau, cet allié autant que ce traître. Pour nous préserver des dangers, il peut parfois/souvent aller trop vite et mal interpréter les signes.
C’est ainsi qu’on étiquette des inconnus au premier regard, au premier mot, au premier ressenti.
Toute la subtilité du cerveau tient dans son mode de fonctionnement et son interaction avec le corps.
Les informations traitées par le cerveau viennent autant du monde extérieur que du monde intérieur. Les sens perçoivent et envoient des signaux au cerveau. Mais le cerveau crée également des pensées à partir de ce qu’il a déjà engrangé. Il crée son propre monde.
Les pensées et les sensations sont indissociables les unes des autres.