Dave Pelz, un ancien scientifique de la NASA, a révolutionné l’approche du putting en introduisant une méthode basée sur la simplicité et la répétabilité, s’éloignant des méthodes traditionnelles pour embrasser une approche plus analytique et fondée sur des principes scientifiques. Sa philosophie, encapsulée dans son ouvrage emblématique, “La Bible du Putting”, repose sur un principe fondamental : “plus c’est simple, mieux c’est”. Dans un monde où la technologie et les innovations matérielles promettent souvent des améliorations rapides mais éphémères, les principes de Pelz résistent au temps, prouvant que la maîtrise du putting vient moins de l’équipement que de la compréhension et de l’application de fondamentaux solides.
Le principe de simplicité cher à Dave Pelz
“Simple is better”, affirme Pelz, une maxime qui semble presque contre-intuitive dans un monde sportif obsédé par la complexité et la technologie.
Pourtant, dans cette simplicité réside une profonde vérité sur la nature du putting et, plus largement, du golf lui-même.
Pelz, avec son arrière-pensée scientifique, démontre à travers ses recherches méticuleuses que la complexité additionnelle dans le putting n’engendre pas nécessairement une meilleure performance.
Au contraire, il argue que “la moins grande quantité d’actions à effectuer pour obtenir le résultat souhaité, plus grande sera votre capacité à répéter ce résultat de manière cohérente”
Cette perspective est intéressante car elle défie l’idée répandue selon laquelle plus un golfeur a de techniques à sa disposition, mieux il est équipé pour faire face aux défis posés par les greens.
Dans son enseignement, Pelz souligne l’importance de réduire le putting à ses composantes les plus fondamentales : l’alignement, la vitesse, et la prévisibilité du roulement de la balle.
Chacun de ces éléments, lorsqu’il est affiné à son essence la plus simple, contribue à une performance plus prévisible et plus contrôlée sur les greens.
“Vous trouverez”, écrit Pelz, “que les résultats de tests dans de nombreuses disciplines valident cette conclusion.”
