Lors de notre dernière campagne de test de balles pour 2015-2016, nous n’avions pas encore reçu les balles Mizuno. Certes, dans la répartition des ventes, la marque Nippone n’est pas au sommet de la hiérarchie bataillée entre Titleist et Srixon ou concurrencé par Callaway et TaylorMade, mais il y a bien un domaine où il ne faut pas seulement se borner à la lecture des parts de marché : c’est bien la balle.
Les conditions du test des balles Mizuno JPX, MP-S et MP-X
Pour ce nouveau test, nous avons abordé la problématique d’une manière un peu différente.
Si depuis le départ, pour ce type de tests, nous avions fait appel à un golfeur professionnel pour obtenir des frappes de balles d’une extrême régularité, et en plus ses observations, pour cet essai, nous sommes partis dans une autre direction : celle de l’amateur, le golfeur de tous les jours qui jouent entre 15 et 25 au-dessus du par, en prenant le soin de mesurer des balles justement régulières et longues avec un fer 6.
Comme pour les précédents tests, il s’agit de vérifier le taux de spin, la vitesse de balle, et la distance parcourue selon une vitesse de swing fixe.
Toujours dans le but de proposer une comparaison, nous n’avons pas seulement testé les balles Mizuno JPX, MP-S et MP-X, mais en plus, nous avons re-testé les Titleist Pro V1 er Pro V1 X, Srixon Z-Star et AD 333 Tour, et la Callaway Chrome Soft, une autre balle qui n’avait pas été testée en décembre dernier.
Quelques mots sur les balles Mizuno
3 offres pour 3 besoins différents !
Prenons le cas de la MP-S qui se veut la balle spin de l’offre Mizuno avec une couverture en uréthane réduite de 0, 5 mm pour une trois pièces, et 330 alvéoles.