Le driver Callaway Epic Flash Subzero 10,5 degrés monté sur un manche regular est récemment arrivé au studio pour son essai. L’occasion de vérifier si l’intelligence artificielle apporte un réel bénéfice de vitesse de balle ou si c’est un énième truc marketing ? Deux ans après la sortie du premier driver EPIC qui avait rencontré un certain succès, Callaway pourra-t-elle rallumer la flamme ?
Les nouveaux arguments du driver Callaway Epic Flash
Avec l’intelligence artificielle, Alan Hocknell espère réaliser une nouvelle avancée dans la conception des faces d’un driver.
La face flash dissimule à son revers, une forme un peu indescriptible censée améliorer le smash factor depuis plusieurs points d’impacts possibles, et autour du sweet spot.
Augmenter la vitesse de balle est en effet le meilleur moyen d’accroître la distance. Un gain d’un mp/h est bien plus significatif qu’une baisse du taux de spin de 200 ou 300 tours par minute.
Cependant, si c’est plus significatif, c’est aussi beaucoup plus difficile à promettre étant donné la limitation du coefficient de restitution imposé depuis quelques années par le législateur.
Le COR est limité à 0.83 au point d’impact le plus performant de la face.
Les marques tournent autour, en espérant améliorer cette restitution d’énergie… tout autour.