En 2013, les grips de putters superstrokes se sont fait une place au soleil ! En l’espace de quelques mois, et surtout deux victoires en Majeurs, ces grips « oversized » se sont invités au milieu des putting-greens d’entrainements un peu partout dans le monde.
Certains commentateurs vont même jusqu’à ironiser sur le fait que la propagation des grips superstrokes sur le PGA Tour est aussi fulgurante que l’avènement du téléphone portable !
Le principe est assez simple ! Il s’agit d’équiper un putter avec un grip surdimensionné pour en fait alléger la pression de grip mise par le joueur, tranquilliser les mains et les poignets, pour permettre un mouvement de putting encore plus naturel.
L’idée est simple ! Le résultat est probant !
Les fans de ces grips Supertrokes apprécient le fait que cela limite les à-coups pendant le swing, mais aussi le fait que la marque propose différentes tailles (4), et coloris pour que chacun puisse trouver son bonheur.
A l’inverse, les antis leurs reprochent le fait que la prise en main ne soit pas totalement intuitive.
Quand on interroge les concepteurs de ces grips oversized, le principal argument mis en avant est le fait que cela permet au joueur d’être plus relax !
Et c’est bien tout l’enjeu du putting !
Encore plus que tous les autres compartiments de jeu, le putting est affaire de sensations et de confiance.
Or jusqu’à présent, les marques se sont essentiellement concentrées sur les têtes des putters, pour nous proposer une quantité astronomique de formes, d’aides à l’alignement ou de gestion des poids.
Pourtant, le grip qui est le premier contact du golfeur avec le putter était resté jusqu’à présent un sujet très/trop conventionnel.
Par exemple, les grips Superstrokes ne sont pas seulement plus larges, ils sont d’une seule dimension alors que la plupart des grips de putters sont plus étroits à la base, et plus larges au sommet.