A l’occasion de la sortie du fer PING Gmax sur le marché francophone, nous avons eu envie de nous replonger dans les datas du fer PING G30. Si vous avez acheté récemment une série G30, devriez-vous être frustré de ne pas avoir attendu la Gmax ? Nous avons scruté les performances, et les caractéristiques de ces deux clubs pour comprendre ce qui allait réellement être en jeu entre ses deux fers très semblables.
Quelles différences entre G30 et Gmax, et quels argumentaires chez PING ?
Tout d’abord, revisitons l’argumentation commerciale de la marque américaine pour le G30.
A l’origine, cette série mettait en avant une progressivité dans la longueur des lames, et des lofts, couplés avec une face plus fine pour optimiser les conditions de lancement de la balle.
Objectif : Augmenter la vitesse de balle à l’impact sur une catégorie de fers dite « Game Improvment » qui ciblait les joueurs à vitesse de swing faible et moyenne, soit un large scope de joueurs de golf.
Mais plus que la distance, ce qui a sans doute frappé les utilisateurs de cette série, et ils ont été nombreux depuis sa sortie, c’est une certaine facilité et maniabilité pour swinguer la balle.
Les principaux éléments techniques de cette série étaient le CTP (custom tuning port) qui selon les ingénieurs contribuait à un contact plus solide, tandis que le centre de gravité du club avait été abaissé et reculé pour propulser la balle plus haute, et plus droite.
Par rapport aux séries G précédentes, une nouvelle semelle et des têtes légèrement plus longues permettaient d’augmenter le MOI, surtout sur les coups décentrés.
A la sortie du Gmax, les arguments n’ont pas vraiment changé !
Ping nous parle toujours de longueurs et de lofts progressifs, et d’une face plus fine pour optimiser les conditions de lancement !