Drôle de nom pour un nouveau fer déjà très apprécié par les golfeurs professionnels sur le PGA Tour, et en particulier, Justin Rose, qui depuis qu’il a mis ce club dans son sac de golf, a remporté deux victoires au Quicken Loans National, et au Scottish Open. Coïncidence ou résultat de causes à effets ?
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Alors objectif de communication ou réel ambition commerciale vis-à-vis des amateurs ?
L’UDI en detail
L’UDI : un nouveau fer 1 remis au goût du jour !
Ce serait mentir de ne pas dire que ce club a été conçu dans la perspective du British Open disputé près de Liverpool, sur le célèbre parcours de Hoylake, qui en 2006 avait vu Tiger Woods s’imposer, et remporter l’une de ses plus probantes victoires en majeur, sans jamais sortir son driver de son sac.
De ce tournoi, le monde a retenu l’expression « iron stinger », comprenez coups de fers missiles.
Depuis cette date, et cette fabuleuse victoire, les marques n’ont jamais cessé d’être inspirées pour proposer des fers « fermés » de plus en plus longs.
Sans vouloir doucher cette euphorie, ce type de clubs avec des lofts très fermés étaient jusqu’à présent réellement réservés à des joueurs extrêmement adroits.
Les marques de matériel de clubs n’ont pas pour seul objectif, le fait de produire des heures d’ingénieries, des brevets et des coûts de production pour seulement quelques joueurs qui utiliseraient un tel club en seulement quelques occasions.
Alors objectif de communication ou réel ambition commerciale vis-à-vis des amateurs ?
Le fait que Ping, Callaway, Titleist et maintenant TaylorMade s’engouffre dans ce micro segment de marché est déjà un premier indice.
De l’aveu des équipes TaylorMade, l’UDI a été créé pour fournir une sérieuse alternative aux bois de parcours et hybrides jusqu’à présent utilisables sur le links d’Hoylake.