Je vais vous proposer ci-après l’expérience d’une toute nouvelle ligne de vêtements de pluie FootJoy, comprenant un pantalon, et une veste dans des matériaux et une construction réputée plus légère. Tout l’enjeu sera de vous proposer un contenu utile, et même divertissant. En l’espace de 4 mois, de juillet à octobre, j’ai eu l’occasion de jouer et tester une quinzaine de parcours. Hasard ou coïncidence, ou même tendance météorologique avérée, du nord au sud de la France, du Touquet jusqu’à Antibes, en passant par les Alpes, dans ce laps de temps, j’ai joué pratiquement 50% du temps sous la pluie, et ce, sans le chercher véritablement ! J’aurai beaucoup d’arguments pour vanter l’intérêt, et même peut-être le plaisir de jouer un parcours sous la pluie. Cependant, le cas présent, parlons surtout textile !
Pour écrire cette revue textile, je vais m’appuyer sur la dernière partie jouée… sous des trombes d’eaux, sur le beau parcours d’Hardelot Les Pins, près du Touquet, ville rendue célèbre par la fameuse création de Paris-Plage au début du siècle dernier, et plus récemment, nouvellement connu comme le dernier lieu tendance d’un jeune président de la république fraîchement élu.
Que peut-on écrire d’authentique et de pertinent sur une ligne de vêtements ? Peut-on avoir la prétention de penser que c’est un produit aussi technique qu’un club de golf ?
Il y a plus de 20 ans, jeune golfeur au club de Saint-Marc dans les Yvelines, je craignais que le fait de porter une veste pouvait altérer la fluidité et l’amplitude de mon swing.
J’ai développé une forme d’atavisme à l’idée de porter une veste spécifique pour jouer sous la pluie, et en même temps quelques rhumes.
Têtu, j’ai commencé à devenir un golfeur uniquement par temps sec… Je ratais à l’époque tout le plaisir des parties automnales, où sur des parcours plus clairsemés, vous pouvez jouer à votre rythme.