Quand vous discutez avec des golfeurs, des directeurs de golf, des enseignants, des greenkeepers, tous sont unanimes pour vous dire que le plus important sur un parcours, c’est la vitesse des greens ! Est-ce que pourtant cette logique ne serait pas l’origine de tous les maux du golf moderne ?
Dans ceux qui vous disent que le plus important au golf, c’est la vitesse des greens, vous avez deux catégories :
- d’une part, les golfeurs qui sont convaincus qu’un bon parcours se juge sur les greens rapides,
- et d’autre part, les professions du golf qui sont convaincues que les golfeurs vont les juger sur la vitesse des greens.
Autrement dit, les greens sont au centre des attentions, mais cela n’implique pas les mêmes choses pour tout le monde.
D’une certaine façon, la vitesse des greens est devenue au fil des années un diktat pour le jeu de golf, et sans que nous nous en rendions compte, cela commence à avoir des conséquences négatives à la fois sur le jeu de golf, et sur l’économie des parcours de golf.
Trop de vitesse de green tue le golf !
Aux Etats-Unis, l’initiative Hackgolf dont nous vous parlons régulièrement depuis son lancement en janvier 2014 a planché sur différentes théories.