Quand vous commencez à vous demander comment améliorer votre score sur un parcours de golf, vous découvrez que le petit jeu est un point clé, un sujet sur lequel la majorité des amateurs ont du mal à consacrer du temps. Pourtant, force est de constater que peu de joueurs consacrent une attention particulière au matériel dédié, les wedges, là où le driver fait l’objet de toute les attentions. Justement faut-il faire un fitting pour ses wedges ? Quels sont les paramètres à prendre en considération ? Quels sont les facteurs de la performance au petit-jeu ? A l’occasion d’une séance de fitting avec un professionnel, John Lawson, j’ai découvert des enjeux que je ne soupçonnais pas, ou que jusqu’à présent je comprenais mal. Témoignage et retour d’expérience…
Préambule sur le fitting pour ses wedges : Le petit jeu est généralement rattaché à ces clubs
Cette « série » de clubs destinée à vous aider dans de multiples situations (rough, bunker, fairway…) et le plus souvent, à moins de 100 mètres.
La plupart des sacs de golfs comprennent de deux à quatre exemplaires: Lob, sand, gap, et pitching wedges…
Pour le golfeur, c’est le choix de clubs ouverts le plus souvent de 44 à 60 degrés de loft, et généralement, à répartir tous les quatre à cinq degrés.
Avec la difficulté en prime de choisir quels lofts jouer, quel nombre de club, pour quel projet de jeu, et pour parcourir quelles distances ?
Le débutant commence généralement avec un 56° généralement nommé S, SW ou sandwedge, accompagné d’un pitching wedge (PW).
Au fur et à mesure des progrès accomplis, une fois les distances estimées avec ces clubs, le golfeur va généralement enrichir son sac, et le plus souvent avec un gap wedge, pour combler un écart, qui peut vite devenir important entre un 56 degrés et un Pitch, parfois de seulement 44 degrés.