Quand les chiffres sont symboliques ! Si 666 est le chiffre du diable, le 13 porte-bonheur ou superstition, le 18 est sans aucun doute le chiffre porte-bonheur pour les golfeurs. Alors, essayons de découvrir en quelques anecdotes ce qui a fait la légende d’Augusta et du Masters. Depuis l’Albatros réalisé par Gene Sarazen en 1935, jusqu’à celui de Louis Oostheizen en 2012, en passant par toutes les péripéties que le parcours a subies au cours du temps.
Vous ne vous souvenez peut-être pas que Bernhard Langer a été le dernier vainqueur à utiliser un bois Persimmon pour gagner en 1985 et qu’Arnold Palmer a joué son dernier Masters en compétition officielle en 1983.
Mais au fond, peu importe si vous l’ignoriez, voyons maintenant quels sont les 18 faits les plus marquant de l’histoire du Masters et du parcours d’Augusta.
A l’origine, Bobby Jones, Alister MacKenzie et Clifford Roberts…
On dit que l’architecte choisi par Bobby Jones pour l’aider à dessiner le parcours d’Augusta, Alister MacKenzie, aurait été inspiré pour rendre plus difficile la visualisation des trous par l’observation des tranchées camouflées par les Boers, alors qu’il servait en Afrique comme médecin dans l’armée britannique jusqu’en 1902.
Pendant des années, il a été écrit à tort que Bobby Jones a convaincu Alister MacKenzie pour concevoir son parcours de rêve, et ce à force des visites insistantes de Jones à MacKenzie à Cypress Point et Pasatiempo en 1929.