J’ai souvent été frustré de ne pas avoir le sentiment de faire ce que je voulais avec la balle de golf. Pourtant, dans beaucoup d’autres sports, football, handball, ou tennis, j’avais bien plus la sensation d’envoyer la balle là où je le voulais initialement, et plus fréquemment. Le golf est un sport de lancer. Pourtant qu’est-ce qui diffère entre le fait de lancer la balle à la main ou avec un club de golf ?
Au cours d’exercices, je me suis demandé, si en fonction du placement de mes mains dans l’espace au backswing, j’obtenais plus ou moins une bonne compression de balle.
De là, je me suis interrogé sur la position idéale de mes mains.
Qu’est-ce que l’on observe chez les pros ?
S’agissant des pros, certains enseignants américains, et notamment ceux d’Athletic Motion Golf se sont amusés à comparer une phase très précise du swing de golf, où la position des mains est illustrée pendant le backswing.
Plus précisément, ils ont relevé la phase où le club termine la montée jusqu’au moment les mains amènent le club seulement parallèle au sol pendant le downswing. Il s’agit d’un très bref instant qui à vitesse réelle est quasi imperceptible.
La durée d’un backswing étant inférieur à une seconde, à l’œil nu, on peut à peine distinguer les différences de signatures entre les meilleurs joueurs du monde.
Signature ? Si un swing de golf a toujours le même objectif, la façon de déplacer le golf peut largement différer d’un golfeur à un autre.
Jim Furyk est connu pour sa signature de swing très particulière.
Entre Jim Furyk et Phil Mickelson, sur la seule question du swing, il est très difficile de distinguer la performance du swing de l’un contre l’autre.
A haut niveau, la précision du driving, la qualité du petit jeu, et surtout le putting font les différences de scores.