Quand on conçoit dans son esprit une partie de golf, on peut penser à beaucoup de choses, comme réussir ses départs, rentrer plus de putts, et finalement taper plus de meilleurs coups. Une chose nous vient beaucoup moins à l’esprit, en tout cas, c’est mon cas, c’est comment mieux gérer les sorties de rough ? C’est étonnant, car nous y passons finalement et forcément un certain temps. Sur 18 trous à jouer, si vous touchez moins de 50% de fairways en régulation, cela veut dire qu’au moins une fois sur deux, vous êtes susceptible de taper un coup de golf en dehors du fairway, et vraisemblablement d’un rough plus ou moins accueillant. Cependant, combien sommes-nous réellement à nous préparer à cette situation bien réelle ? Quelles sont les bonnes méthodes d’entraînements ? Les golfs proposent-ils assez de situations pour s’y entraîner, sans aller sur le parcours ? Les conseils en ligne sont-ils pertinents et suffisamment utiles ?
Combien de coups jouent en moyenne les amateurs depuis le rough ?
Il est assez étonnant de constater que l’enseignement du golf se fait le plus souvent depuis un tapis de practice, alors que plus l’index est élevé, et le plus souvent, un golfeur ou une golfeuse va jouer en réalité depuis une position beaucoup moins confortable.
Quand on débute le golf, on se préoccupe beaucoup plus de la distance, et la direction des coups, notamment le driver, mais finalement, un drive manqué coûte un coup, deux coups ?
En revanche, une balle dans un rough plus ou moins épais coûte combien de coups ? Un ? Deux ? Trois ?
Même quand on devient un golfeur plus expérimenté, sortir du rough reste un exercice périlleux. Après plus de 20 ans à jouer, j’en fait toujours très régulièrement l’expérience.
L’idée de ce sujet m’est venu à la suite d’une expérience personnelle récente.