A l’occasion de recherches sur ce qui peut concrètement et simplement aider un amateur pour mieux jouer au golf, j’ai expérimenté un accessoire très commun et très utile : le bâton d’alignement ou stick alignement. Lors d’un précédent sujet, notre coach, Michel Delbos s’en était servi pour illustrer la qualité de la rotation, et du facteur X. Dans mon cas, j’ai fait une autre découverte sur mon swing. Je dirai même que j’ai une sorte de révélation !
Quand on est débutant au golf, toute la mécanique du swing est importante, et tout paraît compliqué à mettre en œuvre. Quand on progresse, les acquis permettent d’aller explorer des pistes plus étroites, et même des détails.
En réalité, un swing de golf est quelque chose d’assez calibré. Il y a différentes routes pour aller à Rome, mais disons qu’un swing de golf obéit toujours à des paramètres mécaniques définis.
Pas besoin d’être pro pour admettre ce principe.
Si le cadre de fonctionnement est posé pour tout le monde, pro et amateurs, bien entendu, il y a toujours une marge d’adaptation que l’on pourrait appeler sa « petite touche personnelle ».
Cette petite touche ayant des conséquences plus ou moins importantes sur le résultat final.
Si Jim Furyk a créé les conditions d’un swing atypique avec « sa petite touche personnelle », il s’en est suffisamment bien accommodé pour gagner plusieurs millions de dollars sur le tour professionnel.
Si involontairement, j’ai créé « ma propre touche personnelle » en créant une immense boucle inutile entre le backswing et le downswing, quand je ne joue pas bien, le pire qui puisse m’arriver est de ne pas jouer dans la zone tampon.
Chacun ses problèmes de dollars !
Toujours est-il qu’en testant un exercice mettant en jeu de simples bâtons d’alignements (sticks) que l’on peut acheter sur Internet pour une vingtaine d’euros, j’ai découvert que je n’alignais pas naturellement mes hanches en direction de la cible !