Dans la première partie de ce sujet en trois volets, et dont l’objectif est de jouer moins de 80 sur le Golf de Mionnay, en partant des boules blanches pour une longueur de 5902 mètres, nous avions abordé le thème du carnet de parcours, outil finalement peu utilisé par les amateurs, mais à l’inverse, systématique par les meilleurs joueurs. Toujours dans l’esprit de mieux jouer, de gagner des coups, avec l’assistance du coach et cadet professionnel, Arnaud Garrigues, nous avons avancé encore d’une étape, en produisant la reconnaissance du parcours. Comment reconnaître un parcours efficacement ? Quelles sont les situations que nous devons repérer et préparer ? Ne finit-on pas par se faire happer par le jeu ?
Taper des coups ou taper des bons coups ou taper moins de mauvais coups ?
C’est peut-être une question qui pourrait paraître anodine, pourtant, nous, les amateurs, devrions bien la méditer…
Dans le but de préparer cette fameuse partie où je vais viser une performance qui paraît à portée de mains, accessible, mais aussi plus sous pression, et sans certitude de réussite (Il n’y aura qu’un seul essai), rendez-vous était pris en fin de journée au golf, pour réaliser ce que l’on appelle une partie de reconnaissance.