Auteur d’un dernier tour parfait, lors du final du Arnold Palmer Invitational 2018 disputé à Bay Hill en Floride, Rory McIlroy a une nouvelle fois démontré qu’avec un putting en place, il pouvait dominer l’élite des meilleurs golfeurs, dont un Bryson DeChambeau très en vue, un solide Justin Rose, et surtout, un Tiger Woods de plus en plus consistant, sortie après sortie sur le PGA Tour. Pour gagner sa première victoire et lancer sa saison, Rory McIlroy a dû revenir aux fondamentaux de son putting avec le concours d’un génie du putting, Brad Faxon.
McIlroy rugit à nouveau au Arnold Palmer Invitational
18 mois que McIlroy n’avait plus remporté de victoire probante sur le circuit américain, et en fait, sa victoire sur la Fedex Cup 2016.
A l’époque, le putting de McIlroy avait été mis en lumière, comme principal facteur clé de succès ou au contraire d’insuccès.
Au fil des années, le nord-irlandais a tenté beaucoup de choses, et jusqu’à se faire opérer des yeux.
Au sommet de la hiérarchie du golf mondial, « Rors » est l’archétype du profil « Driving, wedging, putting » sauf qu’il est un peu parfois être en mode courant alternatif, sur le dernier chapitre, de son mode d’emploi vers la victoire.
L’été dernier, à l’occasion du championnat du monde à Akron, le Bridgestone Invitational, il enchaînait les drives à plus de 300 yards, mais c’était pourtant insuffisant pour gagner.
Pour McIlroy, c’est simple !
Son nombre de putts par green en régulation fait toute la différence.
En 2016, quand il a remporté la Fedex Cup, il n’était pourtant classé que 135eme sur la saison régulière pour le nombre de coups gagnés au putting.
A l’inverse, il était bel et bien numéro un des coups gagnés depuis le tee et même du tee au green.
Avant le green, McIlroy ne souffrait d’aucune contestation possible de ses rivaux.