Certains observateurs ou membres de la presse, en France ou aux Etats-Unis se sont montrés dithyrambiques au sujet du dernier driver PING G400. Qu’en est-il vraiment ? Le dernier né de la firme de Phoenix surclasse-t-il les anciens modèles PING G ou G30 ? Soutient-il la comparaison avec le Titleist 917 D2 ? En un mot, est-ce vraiment une révolution ?
Premier essai du driver PING G400
Face forgée révolutionnaire, contrepoids en tungstène, forme plus dynamique, technologie dragonfly, le nouveau driver PING G400 promet beaucoup.
De tous ces arguments, intéressons-nous surtout au nouveau processus de forge unique et de traitement thermique de la face.
C’est probablement l’élément le plus important concernant le G400 dans la mesure où le DragonFly est un principe déjà vu et utilisé sur le précédent G.
Ping annonce une flexibilité accrue de 16% qui cumulé à des gains aérodynamiques peuvent permettre un bonus de vitesse de swing de près de 2 mph !
Autre bénéfice proposé, la face 6% plus fine et 9% plus légère par rapport au G doit contribuer à une réduction de la dispersion.
Plus loin, plus droit !
Avec un radar de mesure tel que le trackman, c’est finalement vérifiable.
En attendant de récupérer les données du test réalisés par Xavier Bretin, notre consultant principal pour les tests, et sachant que beaucoup de nos lecteurs sont impatients d’avoir un premier avis vraiment objectif, j’ai testé ce driver avec deux shafts distincts proposés par PING, en regular et en stiff.