Quelle information traiter parmi ces deux nouvelles ? Le retour du driver blanc dans la gamme TaylorMade, qui se refuse à abandonner un pari à double tranchant ou le départ de l’emblématique Mark King, le “Steve Jobs” de l’industrie du golf ? Le fin mot de l’histoire…
TaylorMade n’est pas la marque numéro un du golf par hasard !
Tout d’abord, et depuis plus de dix ans, la marque est passée maître dans l’écriture d’un scénario bien huilé pour donner le tempo, et imposer aux autres, son propre calendrier.
Mark King n’est pas étranger à cette stratégie gagnante.
Après le succès du driver TaylorMade R1 qui avait défrayé la chronique, et marqué les esprits pour sa couronne blanche, au plus fort de la domination de la marque sur le segment des bois métal, TaylorMade ressort les pots de peintures pour son SLDR, numéro un des ventes de drivers, alors que justement, tenez-vous bien, plus de deux ans après son lancement, le driver R1 se maintient toujours dans le top-3 des meilleures ventes de drivers aux USA !
Le blanc a la peau dure, et tient le choc d’un marché, où un driver a désormais une espérance de vie comprise entre quatre et huit mois.