Jouer au golf sous la pluie n’est pas amusant. Peu importe que vous ayez les derniers vêtements de pluie, le tracas de jouer avec votre parapluie et de swinguer avec plusieurs couches de vêtements de protection n’est pas une partie de plaisir. Se réveiller le matin d’une compétition de golf que vous attendiez avec impatience toute la semaine, et voir qu’il pleut… qui peut dire que cela ne l’affecte pas. Pourtant, un golfeur célèbre c’est fait le spécialiste du jeu sous la pluie. En tirait-il du plaisir ? Il a surtout démontré au monde entier que l’on pouvait tout de même donner le meilleur de soi-même. Ce golfeur a marqué son époque. Il s’agit de Tom Watson, un exemple à méditer sous un parapluie…
Le golf peut être quelquefois un jeu frustrant. Il met à l’épreuve notre patience et notre force mentale.
Lorsque les choses vont mal, elles ont tendance à encore plus mal tourner, le score s’alourdit, mais pourtant nous continuons à jouer au golf et à y retourner malgré tout.
Le souvenir d’une très mauvaise partie ne s’évapore jamais vraiment, de même qu’une très bonne partie de golf restera mémorable.
En sortant du dix-huitième trou, l’espace de quelques instants, on peut avoir le sentiment de vouloir arrêter de jouer.
J’ai ce souvenir à propos d’une partie jouée au Golf du Touquet, sur le parcours de la Mer, où sortant d’une partie jouée en plus de 100 coups, ce qui ne m’était pas arrivée depuis très longtemps, et depuis, j’ai eu ce sentiment.
Je n’ai plus jamais envie de le ressentir, et ce jour là, j’avais joué sous la pluie et avec beaucoup de vent.
Avec le recul, les conditions climatiques avaient clairement joué un rôle aggravant, mais c’était surtout mon jeu qui n’était pas en adéquation avec le niveau exigé par ce parcours, et mes attentes trop fortes.