A l’occasion d’une partie de golf anodine, j’ai cru observer une relation entre rythme cardiaque, et qualité de mon jeu de golf. Putting, chipping, approches, coups de départs, tout semble plus simple et plus performant quand le rythme du cœur est plus modéré. Et si chercher à bien jouer au golf n’était qu’une question de rythme… du cœur ?
Avant de développer le sujet, et notamment les recherches que j’ai pu faire pour confirmer ou contredire cette théorie, tout est parti de ma propre expérience au cours de compétitions de clubs.
A l’aide du capteur Whoop que je porte au poignet droit depuis le mois d’octobre 2019, et principalement pour monitorer la balance entre récupération, sommeil, et dépenses physiques, j’ai la possibilité de suivre mon rythme cardiaque pendant l’intégralité d’une partie de golf.
Le 19 juin dernier, j’ai eu l’occasion de faire une partie au golf de Grenoble (Charmeil) dans un cadre amical. La partie a duré 4h20, et dans ce laps de temps, mon rythme cardiaque moyen a été de 113 battements par minute avec un maximum à 149.
Sur la totalité de cette partie, j’en ai passé plus de la moitié (2h00) à 60/70% de mon rythme cardiaque maximum.