Seniors, les années passent, et petit à petit notre jeu de golf décline, on le constate essentiellement aux abords de la soixantaine. Ceci dit, le golf reste toujours passionnant et agréable à jouer, quelque soit son âge. Comment continuer à gérer au mieux ses compétences, son équipement, et ses parcours ?
Ce déclin progressif ne concerne pas que les golfeurs du dimanche, on le constate chez les professionnels du PGA Tour Champions qui est destiné aux joueurs de plus de cinquante ans. Il est devenu rare qu’un joueur de 60 ans ou plus, gagne sur ce circuit.
Bernard Langer né en 1957, pourrait être sans doute une des exceptions, en étant toujours en mesure de remporter encore des tournois à l’approche de la soixantaine.
Le 14 novembre 2016, avec une deuxième place exceptionnelle dans l’épreuve finale du PGA Tour Champions, Bernard Langer a remporté pour la troisième fois consécutive le classement de la saison de ce PGA Tour Champions, à 59 ans…
À chacun son passé golfique, mais également son avenir de golfeur
Il y a sans doute d’autres années marquantes que la barre des 60 ans pour un joueur de golf, elles dépendent de l’histoire propre à chacun. À quel âge avons nous commencé à jouer, à quelle période avons nous eu le plus de temps à consacrer au golf, etc.
Pourquoi ce changement se produit à la fin de la cinquantaine ? Nos compétences pour frapper la balle diminuent principalement par le manque de puissance ou la combinaison de la vitesse du swing et de la force.
La coordination du geste, l’équilibre et la vision, peuvent lentement s’émousser avec l’âge, mais pour la plupart d’entre nous, c’est bien le manque de puissance qui progressivement nous fait défaut.
On peut bien entendu continuer ou commencer à faire des exercices destinés à travailler sur la force, la souplesse et l’équilibre, mais il ne faut pas s’attendre à faire tourner l’horloge dans l’autre sens.
Il n’y pas d’âge pour bien jouer au golf!
J’ai passé 82 ans et je joue de mieux en mieux au golf :je joue trois fois par semaine 18 trous .Ici sur la Côte d’Azur ,il n ‘y a pas d’hiver ,pas de neige ,pas de greens d’hiver .150 parties dans l ‘année ,sans fatigue et sans bobos .mais il faut beaucoup travailler ,son physique et son petit jeu :quand je ne joue pas je putte 100 fois depuis 4 pieds jusqu’à 24 pieds ,chez moi .J’en fais autant pour le chipping ,et je fais100 swings “à blanc ” (Sans balle ) devant un miroir en mesurant la vitesse de la tête de club .Sur le parcours ,je joue ainsi vite et sans aucune hésitation .Il faut avoir pleine confiance en soi pour bien jouer et surtout visualiser le vol de la balle avant de jouer le coup .La distance n ‘est pas un problème ,c’est l ‘absence d’erreurs qui compte