En matière de driver, PING a été une des premières marques à clarifier ou segmenter son offre en trois, pour proposer trois solutions distinctes avec un même concept de driver. Déjà avec la ligne G, PING présentait le G, le G LST et le G SFT. Le premier modèle pouvant être considéré comme un driver standard, le SFT comme un driver volontairement “Closed ou Hook” face, et enfin le LST, un driver Low Spin. Dans d’autres marques, cela pourrait tout simplement être un seul driver mais complètement ajustable. Pour PING, cette orientation lui permet de se distinguer, et d’affirmer pousser l’expérience fitting plus loin. Avec le G410, PING a décalé la sortie du LST, une bonne manière de faire une piqûre de rappel. Low spin, high spin, est-ce que le centre de gravité d’un driver est le seul élément pour ajuster le spin ?
Ping avait dévoilé son nouveau driver G410 un peu plus tôt cette année, mais ils avaient arrêté le processus, en reconnaissant que le modèle LST, driver à faible spin devait retourner sur la planche à dessin.
Les ingénieurs de Ping avaient découvert en bout de chaîne de production que le prototype LST n’était tout simplement pas meilleur que le précédent driver G400 LST.