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Le conseil de « Paddy » pour driver plus fort et plus loin

Le conseil de « Paddy » pour driver plus fort et plus loin
Padraig Harrington, légende irlandaise du golf, capturé en pleine action lors de la finale du 98e Championnat PGA à Baltusrol. Un swing impeccable qui a inspiré une génération de golfeurs. Suivez les conseils de cet expert pour améliorer votre drive et gagner en distance. #Golf #PGA #Harrington #DrivePlusLoin

A 51 ans, l’irlandais Padraig Harrington retrouve une seconde jeunesse sur le Champions Tour, le circuit vétéran du PGA Tour.  Depuis que le natif de Ballyroan a passé le cap des 50 ans, il a déjà disputé 27 tournois pour 4 victoires et 18 top-10. Il a notamment remporté l’US Senior Open en 2022, ce qui faisait écho avec ses victoires au British Open en 2007 et 2008, au moment où il était des seuls à pouvoir contester la domination d’un Tiger Woods, encore au sommet de sa forme. Capitaine malheureux en Ryder Cup, sèchement battu avec son équipe lors de la dernière édition à Whistling Straits, il n’en demeure pas moins un exemple pour la qualité de son swing, et il n’hésite pas à l’occasion de pro-ams à partager ses meilleurs conseils envers les amateurs. Le dernier en date a particulièrement retenu mon attention, car rarement entendu…

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Harrington, une figure du golf mondial depuis la fin des années 90

Après être passé professionnel en 1995, Harrington a rapidement fait ses preuves sur le circuit européen, remportant son premier titre, l’Open d’Espagne, dès sa première année.

Malgré une série de deuxièmes places, qui lui ont attribué une réputation d’éternel deuxième, il a su démontrer son talent en renouant avec la victoire en 2000. Ses performances notables sur le circuit américain, le PGA Tour, dont sa victoire au Honda Classic en 2005, ont notamment contribué à lui faire un nom.

Cependant, ce sont les victoires de Harrington lors des tournois du Grand Chelem qui ont vraiment fait de lui un grand nom de ce sport au cours des 25 dernières années.

Sa première victoire majeure a été remportée en 2007 lors du British Open à Carnoustie en Écosse, où il a surmonté un retard de six coups lors du dernier tour pour gagner en playoff contre Sergio García.

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Fondateur du site en juillet 2010, découvre le golf à l'âge de 10 ans au travers d'une première expérience de caddy en Angleterre (Golf d'Uckfield/Essex) en 1985. Journaliste professionnel sur le golf, co-auteur du livre Tiger Woods, l'homme aux deux visages aux éditions SOLAR en septembre 2018. Dans ce cadre est intervenu sur la Matinale de RTL dans la rubrique 3 minutes pour comprendre animée par Yves Calvi, et sur un reportage réalisé par la direction des sports de M6 pour le magazine du 12.45 du samedi 29 septembre. Se déplace chaque année aux Etats-Unis pour interviewer les principaux acteurs de la filière Golf, aux sièges des marques en Californie ou au PGA Merchandise Show à Orlando.

1 COMMENT

  1. Toute la dynamique du club de golf et de sa vitesse de frappe, vient de l’effet “double balancier” untilisé pendant deux siècles en artillerie, juste avant l’arrivée de la poudre, avec le trébuchet, qui permettait d’envoyer des boulets de 120 kilos à plus de 200 m.
    Avec le trébuchetr, c’est au moment où arrive à la verticale la poutre à laquelle est liée, en son haut, la lanière, avec au bout la nacelle du boulet, et donc qu’elle ralentit puis s’arrête, que toute l’énergie passe dans le deuxième “balancier” la lanière, qui se déploie alors à une vitesse fulgurante. Il est certain que si la poutre s’arrêtait net, la vitesse de projection de la lanière, avec le boulet au bout, augmenterait sensiblement.
    Dans le swing de golf, le premier balancier , l’équivalent de la poutre du trébuchet, ce sont les bras, et c’est au moment où ceux ci ralentissent que toute l’énergie passe dans le deuxièmpe balancier, le club. Et, oui, si, arrivé à ce moment de vitesse maximale des bras et donc des poignets, ceux ci s’arrêtaient net, il y aurait sensiblement plus de vitesse transmise au club.
    Mais la réalité n’est pas que ce sont les mains qui donnent de la vitesse, mais l’arrêt , si possible du mouvement des mains.

    A remarquer par ailleurs que ce phénomène du double balancier est à l’oeuve trois fois dans le swing : les hanches entraînennnt les épaules et freinent brutalement, les épaules, alors, entraînent les bras, et freinent brutalement, les bras, enfin, entraînent le club et , à leur tour, freinent brutalement. Et c’est lorsque le mouvement est le mieux coordonné , ainsi que le montrent les tests avec la K vests, que le club prend une vitesse maximale… Et, oui, l’accelération, suivi du freinage butal de chaque segment est détermnant…