Accueil Sportives Ryder Cup Légendes de Ryder Cup: 2008, une question de leadership à Valhalla

Légendes de Ryder Cup: 2008, une question de leadership à Valhalla

Ryder Cup 2008, Nick Faldo et Jose Maria Olazabal. Photo Mark Newcombe - visionsingolf.com

En septembre 2008, sur le Valhalla Golf Club, les États-Unis ont remporté la Ryder Cup pour la première fois depuis 1999, mettant fin à une série de trois victoires successives pour l’Europe. Après une rencontre épique, alors que depuis presque une décennie c’était la disette pour les américains, ils n’ont pas seulement remporté la Ryder Cup. Ils ont sauvé son image, et son attrait auprès de leurs fans. Ils ont été aidés, hélas, par certaines des décisions les plus incompréhensibles jamais prises par un capitaine européen de Ryder Cup, Nick Faldo. Histoire d’un capitanat contesté…

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Du côté européen, le ton et l’ambiance étaient donnés dès la semaine précédente de la Ryder Cup par l’ancien capitaine de l’édition 2004, Bernhard Langer.

Langer s’était distingué notamment lorsque l’Europe avait battu les Américains pour la première fois par neuf points d’écarts, et affirmé que Faldo commettait une erreur en se contentant de lui-même comme capitaine, et d’un seul vice-capitaine, José Maria Olazabal.

« Je pense qu’il commet une erreur en n’ayant pas quelqu’un dans chaque groupe, une fois que les quatre équipes seront sur le parcours ».

Quatre ans plus tôt, Langer avait supervisé chaque match à Oakland Hills avec son vice-capitaine Anders Forsbrand, et ses assistants, Joakim Haeggman et Thomas Bjorn.

« Je sais qu’en tant que capitaine, j’aimerais avoir une personne dans chaque groupe pour me donner toutes les informations ».

Pour l’Europe, un capitanat contestable

 

La contestation du capitanat de Faldo a commencé très vite, et même dès le début de l’épreuve au travers du choix des wild-cards.

Cette critique était d’ailleurs peut-être un peu sévère, car dans chaque équipe, il y a nécessairement des débutants.

Robert Karlsson, Paul Casey et Henrik Stenson n’avaient pas l’expérience de ce genre de match.

Le destin a voulu qu’ils contribuent à la défaite de l’Europe, et le reste de l’équipe n’a pas été en mesure de remonter le déficit de points.

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Golfeur depuis les années 90, j'ai eu la chance de faire un grand nombre de voyages golfiques en France, en Europe, ainsi qu'aux Caraïbes, pour jouer sur plus d'une centaine de parcours. J'ai partagé les parties de très bons golfeurs amateurs, et de pros. Au cours de mon expérience, j'ai été proche des professionnels du secteur, enseignants, dirigeants de golf, organisateurs de Pro-Am, architectes de golf, et sponsors. Aujourd'hui, je mets à profit mon expérience golfique sur le site MyGolfMedia.com en apportant ma vision sur l'évolution du golf sur près de trois décennies.